La pause, sinon le bouton de réinitialisation, a été pressée sur notre monde, et ce n’est pas une exagération de dire que le coronavirus – au moins à moyen terme – a tout changé.
Le transport, un sujet qui planait près du sommet des agendas avant même cette «situation», a connu des modifications importantes. Les bus et les trains fonctionnent considérablement des services, par exemple, conduisant à des discussions sur la façon dont les personnes qui comptent sur les transports publics se mettront au travail tout en maintenant la distanciation sociale.
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D’autres développements incluent les essais accélérés et élargis de scooter; Certaines autorités locales ont fermé des routes vers des voitures afin d’encourager davantage de marche ou de vélo; Et Transport for London a augmenté la charge de congestion, tant en prix et en heures de fonctionnement.
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Ces tensions nous tirent dans des directions opposées; D’une part, ne prenez pas le bus ou le train – même le Premier ministre nous a demandé d’utiliser nos voitures à la place. D’un autre côté, nous avons rendu plus cher à conduire dans la capitale, et plus difficile de contourner certaines rues de la ville dans une voiture.
Mais si vous ignorez ces contradictions et regardez les statistiques nues, il est clair que la voiture reste roi. Les données du gouvernement montrent que 68% des États-Unis se rendent au travail, avec seulement 17% de bus et de trains. Sur les 808 milliards de kilomètres de passagers couverts l’année dernière, 83% d’entre eux ont été effectués par des voitures, des camionnettes et des taxis. Besoin de plus de preuves? Il y a 35 millions de voitures au Royaume-Uni – plus d’un pour chaque ménage.